Tant de malheurs, dans ce monde, ça et là,
Être heureux, ne se dit pas, ne se conçoit pas,
C’est juste une idée à laquelle chacun aspire,
Un doux rêve que l’on caresse, plein de soupirs.
Courir, toujours, métro, boulot, dodo,
Gagner plus pour soigner ses bobos,
Bobos créés par le métro, boulot, dodo,
Cercle infernal, sans fin, qui crée nos maux !
On ne se retourne pas sur le vieux, sur le pavé,
La violence, la pauvreté, on voudrait bien aider,
Un jour on jette une pièce, moins de méfiance,
Nous faisons tout de travers, écoutez la conscience !
Elle nous dirait, ouvre les yeux, le monde est beau,
Ouvre ton cœur, parle, aime, enlève ta vieille peau,
Ton sourire sera là, ton cœur tel un ballon de joie,
Te dira, tu vois, tu es heureux, cela se conçoit !
Le bonheur n’est pas un dû, c’est ma volonté, mon choix,
Je décide d’ouvrir les yeux, de voir la beauté, la joie,
Je sourie le cœur en liesse à cette vie, délicatesse,
Je le clame, je le crie, je suis heureuse, je le confesse.
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Oui, il faut le dire quand tout va bien, c’est bon, beau et si rare ! Merci ma chère amie pour tes commentaires toujours si judicieux !
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C’est vrai qu’on parle plus souvent de ses malheurs que de ses bonheurs comme si on avait peur de blesser l’autre moins chanceux, on se retient, on cache sa joie et pourtant c’est tellement beau quelqu’un heureux, son visage est détendu, radieux, il illumine et resplendit tout alentour. Le rire est contagieux mais le bonheur l’est aussi.
Alors osons parler de nos petits bonheurs !
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